top of page

Sur les traces de Christophe Colomb

Trois semaines déjà que nous explorons les îles Canaries.

La Graciosa, Lanzarote, Tenerife et La Gomera à présent. Toutes différentes, mais chacune nous ravit.

Nous avons pu alterner entre ports et mouillages, découvrant ainsi des recoins sauvages pour quelques nuits mais profitant également de l’animation des pontons et du charme des villes portuaires de Santa Cruz (Tenerife) et de San Sébastian (La Gomera).

Nous avons testé l’accélération soudaine du vent entre les îles, phénomène bien décrit dans tous les guides nautiques, mais qui nous a tout de même surpris entre Tenerife et La Gomera : passant de 8 à 30 nœuds, sans crier gare, le vent s’est levé d’un coup, entrainant la houle avec lui….

Ce qui nous a valu la casse du bout de l’enrouleur de génois (pourtant changé avant de partir !) alors que nous étions au près. On a donc fait les 15 milles restant sous grand-voile et moteur, sautant de vague en vague, le génois affalé et nous trempés d’avoir « joué » avec les vagues, à 4 pattes sur le trampoline, pour tenter de remédier au mal…. !

Sur les traces de Christophe Colomb, nous avons pénétré dans la magnifique baie de San Sébastian de La Gomera, et même assisté à la messe dans l’église de La Concepción, là-même où le navigateur et ses équipages ont reçu une dernière bénédiction avant de partir à la découverte du nouveau monde ! (Au passage, on a remarqué d’ailleurs que le livre d’histoire du cycle 3 n’était pas très complet sur cet épisode :-) !)

Si nous avons apprécié le charme désuet de Santa Cruz, ses larges rues piétonnes qui s’égaillent à partir de 17h, ses écoliers en uniforme, son tram multicolore et ses palmier recouverts de crochet (comme les caniches, si si !), bien plus encore sommes-nous ravis par ce que nous découvrons ici à La Gomera.

Ile authentique, peu habitée (20 000 habitants), avec un fort sentiment d’insularité et de bout du monde qui s’en dégage….Population accueillante, façades colorées, végétation luxuriante en bord de mer, qui contraste avec les falaises abruptes et les flancs pelés des montagnes entrecoupées de « barrancos » (ravins).

Tout ici est plaisant. Pour en découvrir d’avantage encore sur cette île attachante, nous sommes partis sur sa côte sud à Playa de Santiago : mouillage devant une plage de galets et de sable noir, port de pêche et petit village coloré au pied des montagnes…rien de tel pour partir à la découverte des sentiers de randonnées, une fois les évaluations de fin de première période terminées !


Featured Posts
Recent Posts
Archive
Search By Tags
Pas encore de mots-clés.
Follow Us
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
bottom of page